Je viens de me rendre compte que ça fait presqu’un an et demi que je n’ai pas changé mon statut sur geeks-mx…. c’est record non?

« Autour de lui et moi le silence se fait, mais ce poney est, ma préééééfééééérence à moâââââââ… » –> et je ne me rappelle même pas pourquoi je fais référence à une chanson de Julien Clerc en parlant de poney!!!!

Ceci est un vilain copier-coller de mon blog, mais c’est pour faire partager ma journée de merde! Même si votre journée a été chiante, vous pouvez toujours vous dire que ça aurait pu être pire. D’ailleurs je me tâte à créer un site « journée de merde ».

Alors aujourd’hui….. Vendredi 16 Octobre. Je me réveille à 6h30 pour aller sur le terrain. Bon il s’avère que je devais y aller avec la voiture de la fac et des gens du labo… mais l’excursion a été annulé et reporter à mercredi, mais moi j’avais quand même besoin d’y aller. Du coup je me rend, de bonne heure et de bonne humeur, à la gare routière. Alors que j’étais quasiment arrivée à la gare routière, je me rappelle que le vendredi y’a pas de bus pour la serra do cipó à 8h. Bon me voilà à poiroter pendant 1h dans la gare routière. Forcément le bus de 9h est bien peuplé, on fait plus d’arrêts, bref on avance pas quoi. Je pensais avoir fait le tour des soucis possibles avec ce bus: la porte de la soute que l’on perd en route, le moteur qui fait un bruit monstrueux tout au long du trajet, le passager suspect qui disparait laissant derrière lui une valise suspecte et donc un arrêt par le poste de police, la panne dont ne sait où, l’heure de retard à cause de je ne sais quoi…mais il en manquait un et un fameux encore: la crevaison! Et moi qui me trouvait à la place juste au dessus de la roue qui a pété, je ne vous parles pas de la peur que j’ai eu.

J’arrive dans la serra do cipó vers 12h45/13h au lieu de 11h30 initialement prévu. Je commence à faire le petit tour de mes sites, pour voir si les vaches n’ont pas tout détruit. Bon elles se sont un peu acharnées sur un site, j’ai encore retrouvé des boules de plastiques mais heureusement j’avais mis des cailloux et elles arrivent pas encore à faire des boules de cailloux. Pendant ce temps je trouve le moyen de croiser un serpent: donc cris et fuite à travers la pampa. Il était marron et pas très très gros mais croiser un serpent « qui vous regarde dans les yeux », ça reste croiser un serpent qui vous regarde dans les yeux! Moi ça me fait toujours le même effet. Vers 13h45, je sens les première gouttes d’eau, faut dire que y’avait déjà de l’orage au loin depuis un bon moment mais là le nuage se rapproche… vite. Je me prends une saucée, mais heureusement grâce à mon super poncho je suis même pas mouillée…enfin jusqu’au moment où je me décide à bouger pour aller voir un 3e site (site que je n’ai jamais atteint). En effet une 2e vague d’orage ma prise au dépourvu, et le poncho n’y a rien fait l’eau est remontée par capillarité le long de mon pantalon! Du coup j’analyse la situation : c’est complétement bouché à droite, c’est bouché gauche, y’a de l’orage et des éclairs devant, donc je repars en arrière. Je cours jusqu’à la maison de Geraldo et je m’abrite sous son porche! A 15h , détrempée du pantalon (le haut au sec grâce à mon super poncho, je le rappelle), je prends le bus : la pluie n’avait toujours pas cessé.

LE fou rire du soir!!!

ATTENTION danger, la mélodie reste dans la tête quelque temps après le visionnage de la vidéo….
Je vous laisse apprécier….. notamment la qualité de la chorégraphie…

Avant y’avait pas de nouveaux comics… alors je me dis qu’il faut pas qu’on tombe si bas avec les news.
Je vais donc vous parlez de mes vacances!
Enfin pas vraiment je vais plutôt mettre 2-3 photos pour faire rêver et convaincre les copains à venir me voir l’année prochaine au Brésil:

Et pour convaincre les derniers:

Anecdote rigolote :
je tape dans google « TIM » pour avoir des infos sur l’opérateur téléphonique TIM disponible au Brésil et qu’est ce que google me sort comme réponse ……… je vous le donne en mille:
« Welcome to Tim Hortons
Offers coffee and doughnuts in locations across Canada and the United States. »

Google se foutrait-il de ma gueule?

Voilà, il s’agit donc d’un dimanche soir, il s’agit d’un retour sur Avignon via le train, il s’agit d’une soirée au hit parade de la loose !
Je suis montée sur Paris ce week-end afin de régler les formalités administratives (visa) pour mon départ au Brésil (le 7 Octobre). Dimanche aprem tranquille à Paris, sous le soleil (visite de l’hotel de ville et du Panthéon, bière dans un troquet, et tout et tout). Je prends le bus à 19h15 (mon train étant à 19h46), sur le trajet on a le droit à un changement de chauffeur et que je te tape la discute avec le collègue (pire que des gonzesses)… heu excusez moi, j’ai un train qui ne va pas m’attendre, on peut y aller….j’arrive à la gare : 19h44, sprint dans la gare de Lyon, visionnage de l’écran, le quai G, à l’autre bout (bien sur !!), course folle, les agents de la RATP qui sifflent, tout le monde en voiture, et…. Victoire, j’arrive à me glisser dans la première voiture. Je demande au contrôleur de me composter mon billet : – oui bien sur, par contre vous n’êtes pas dans le bon train ! –ha, heu comment ? – ce train ci va à grenoble. –gloups –mais vous inquiétez pas on fait un arrêt à Lyon, il faudra que vous changiez de train. –soulagement ! je réussi à m’endormir dans le train jusqu’à ce qu’un vieux me réveille pour remplir un pauvre questionnaire de la sncf ! (la SNCF c’est trop cher). Arrivée à Lyon, changement de train, je trouve mon siège…tranquille. On arrive à Avignon, une ville où il existe deux gares… Et bien sur, moi, je débarque à 23h15 à la mauvaise gare. Heureusement il existe une navette qui relie les deux gares, navette que j’ai bien évidemment raté à 2 minutes prés et bien entendu c’était la dernière de la journée ! Donc me voilà, à Avignon gare centre, entourée de putes, parce que j’ai tellement de chance que je suis arrivée dans le quartier le plus fréquenté d’Avignon entre 23h et 4h du mat’…. Dépitée j’appelle 118 218, le grand moustachu me trouve un taxi, le taxi me trouve, le taxi ne prend pas les cartes de crédit (misère), le taxi me dépose à un guichet, le taxi et moi roulons jusqu’à la gare TGV, le taxi me dépose, je paie le taxi, je retrouve ma voiture (intact).
Voilà on était déjà lundi matin, je devais me lever à 6h30, je m’endors comme une clocharde dans ma voiture, sur le parking d’Avignon gare TGV…. Ben oui à 0h30 plus aucun camping n’est ouvert !

On dit souvent que les sportifs sont bêtes voire cons (Ho !) et pourtant il en est un (oui je sais ça fait pas beaucoup, c’est plutôt l’erreur qui confirme la règle !) qui un jour a eu une grande idée. Cet homme était canadien et hockeyeur professionnel.
Et là tout le monde se demande ce qu’à bien pu créer cet homme qui force le respect (au moins le mien). Cet homme s’appellait Miles Gilbert Horton, (12 janvier 1930 – 21 février 1974) plus connu sous le nom de Tim Horton. C’est un des joueurs les plus célèbres du hockey canadien. Accessoirement il a créé la chaîne de restaurant la plus populaire au canada : TIM HORTONS (c’est ça la grande idée pour ceux qui ont pas suivi).
Goûter au Tim Hortons c’est l’adopter. Ces délicieux beignets, muffins, dOOnuts au miel, vanille, sirop d’érable, chocolat et j’en passe et des meilleurs, tant de choix, si savoureux, si onctueux, c’est le rayon de soleil d’une journée pluvieuse, c’est la bouffée d’air frais dans une ville polluée, c’est que du bonheur….
Le Tim Hortons rend légèrement addicte (si peu)! N’empêche une semaine sans donut c’est une semaine sans saveur, sans ces petits plaisirs du quotidien, sans goût.
Du coup, étant donné que je ne suis pas du genre à me laisser abattre j’ai décidé de réaliser des donuts, bon certes pas aussi bon que ceux de tim hortons !

La recette mérite d’être amélioré mais est très prometteuse.

Ça aurait du être une grande journée et ça l’a été.
Sûrement que je dois quelques explications après cette entrée en matière rondement menée.
Nous sommes le lundi 16 Juin (jusque là personne ne peut contester !). Et bon, il a été décidé, par des instances qui me dépassent et aussi à cause de la lune et peut être bien du champ magnétique, que c’est en ce lundi 16 Juin que je devrais défendre mon travail de fin d’année et par la même occasion de fins d’études.
Ainsi aurait du s’achever (en apothéose en quelque sorte) mon cursus universitaire : RER A – RER B – Batiment 360 – Cerrado, plantes, réintroduction, restauration, merci de votre attention, vous avez des questions ? – oui, blablabla – merci et au revoir- RER B – peut être Paris – RER A  TALALA champagne presque Bac + 5 les enfants!
Sauf que oui y’a eu un sauf (@! ##’).
Donc, réveil matin 9h (putain c’est trop chiant le matin, qui a inventé le matin ? – normal quoi), j’arrive au RER à 10h, et là zut putain de merde j’ai oublié la lettre d’appréciation de mon maître de stage et mon agenda dans lequel, bien sur, j’avais noté le numéro de la salle où je devais faire ma présentation. Ça commence bien, à cette allure là on est pas arrivé ! Aller-retour, me voici de nouveau prête à prendre le RER A, rouge comme une tomate mais en avance (comme quoi desfois ça m’arrive). Ha tiens on m’a appelé ! Message d’Eric (c’est peut être un peu décousu parce que je vous le retransmets pèle mêle.) : « ouais c’est Eric, il parait qu’il y a des problèmes avec les trains SNCF et aussi avec le RER B alors faudrait mieux que tu te magne, bonne journée ». Oups. Infos trafic : 40% de RER B. Bon ça va je suis en avance j’arriverais bien à en avoir un. Donc je vais bien, tout va bien. J’arrive sur le quai du RER B, avec un RER qui est à quai, mais impossible de monter dedans tellement il y avait de monde ! Bon pas grave je vais prendre le prochain. (C’est à ce moment qu’il faudrait mettre une musique un peu tragique). Le RER s’en va, bondé, ça débordait même, il me laisse là, seule sur le quai gris et froid. C’est alors que résonne la douce voix de la dame de la RATP : « Nous vous informons qu’il n’y aura plus de RER B, le service est interrompu en raison de mouvements sociaux ».
NOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN, ça va pas du tout ça ! @# ! merde ##@¡*chier!** »#@ putain.
Bon on panique pas, on panique pas, non pas la peine de paniquer si ça se trouve c’est un mal entendu, on panique pas ça sert à rien.
Bon, merde on panique !
Sur ce, j’appelle des connaissances parisiennes, histoire de savoir qui pourrait m’amener à Orsay. Fort heureusement, la rapportrice de mon rapport pouvait venir me chercher à Massy-Palaiseau, donc métro, RER C me voilà à Massy, ensuite direction Orsay, je me pointe avec une demi heure de retard (pour quequ’un qui était en avance, j’appelle ça de l’acharnement, je crois même que ça sert à rien que j’insiste). De toute façon le jury aussi était super en retard.
-Cerrado, plantes, réintroduction, restauration, merci de votre attention, vous avez des questions ? – oui, blablabla. Finalement c’est le président de mon jury qui m’a ramené sur Paris parce que toujours pas de RER.

Finalement, voilà, le résultat est le même, presque Bac+5 les enfants, enfin on croise les doigts !

Etant donné que j’étais à la méga bourre au possible, il fallait absolument que j’évite de dormir, seul moyen que j’ai trouvé pour mettre 48h dans 24h. Donc en fin de semaine, les mains tremblantes d’avoir bu plus de caféine que mon frêle corps ne peut en supporter, j’ai réussi à rendre mon rapport et samedi matin à 11h30, après une chouette soirée à boire du vin rouge et à manger du saucisson, 3h de sommeil, et un aller-retour à la poste aux aurores je me suis endormies comme une minable et j’ai dormi tout le w-e (c’est dire les heures de sommeil en retard!). Bref, le mémoire est rendu y’a plus qu’à le soutenir, en attendant j’essaie de trouver des manières originales de présenter mon PowerPoint, donc je flane sur le net en cette délicate après midi…. Et j’ai trouvé des trucs bien plus rigolo à faire qu’un powerpoint qui de toute façon sera moche quoi que je fasse!

Voilà, c’est tout, sinon à Aix le temps est orageux tendance orageuse avec prévision d’orages.

La vie au bord de la Méditerranée est douce et fruitée, un peu comme de l’huile d’olive… Le soleil rayonne, le mistral souffle un peu (beaucoup… ), les oiseaux sont gais et les barbecues de sortie…. douce transition pour quelqu’un qui a passé deux mois au Brésil et qui a déjà maintes fois gouté au plaisir des grillades en cette année 2008. Cependant le barbecue n’est pas le propos…
Par un bel après midi, alors que je flânais dans les ruelles étroites et si pittoresques de la vieille ville d’Aix en Provence (où mes valises sont désormais posées), je tombe sur un magasin de savon. La scène n’est pas étonnante puisque nous sommes dans la région du savon de Marseille, cependant la vitrine de cette échoppe m’a fait bien rigolé…

C’est pas mignon tous ces canards roses

Extra pur le canard!

sans commentaires… prendre une douche avec c@d est désormais accessible à tous ou pas….