Lu ce matin en une du monde.fr, Jérôme Kerviel m’aurait vendu à la fac contre une boîte de chocolats suisses. Enfin, je n’ai pas tout bien compris. C’est là :
Que nenni. C’était pas moi. En plus, j’avais piscine.
Morceaux choisis de l’article :
Il n’est pas étonnant, dans ces circonstances, que les ETF soient devenus les superstars des années 2000.
Sabre au clair, ces jeunes Frankenstein ont déconstruit les ETF pour les recombiner dans des complexes échafaudages « synthétiques ».
Tout l’article est un délice (mais pas toujours aussi gentil avec moi).