Uru, ages beyond Myst

Suite à un test très enjoué (comprenez que je m’y suis attelé avec un réel plaisir), Myst 4 se révèle comme l’un des jeux qu’il faut absolument posséder en cette fin d’année, si vous n’avez rien contre la réflexion (et les bugs).

Ce jeu est le digne successeur de Myst, le passage à la 3d est supportable, bien que difficilement si vous souhaitez tout voir du jeu. En effet, il faudra avoir un sacré oeil, dans l’environnement qui nous est présenté.

Les énigmes sont assez complexes, et il faut vous prévoir une plage horaire assez large si vous ne voulez pas mourir de frustration à chaque fois que vous vous serez perdu dans la résolution d’une énigme en cours.

Oui, le systeme sauvegarde automatiquement toute modification faite au monde, mais vous ne revenez pas là où vous avez quitté lorsque vous fermez le jeu, c’est assez déconcertant et il vaut mieux noter (aussi) sur son calepin tout ce qu’on fait.

Mais les habitués des ages complexes comprendront. 🙂

Testez-le, la démo doit être disponible sur le site de cyan ou d’ubisoft.

Eric

poem étranger

Love is a word that is constantly heard,
Hate is a word that is not.
Love, I am told, is more precious than gold.
Love, I have read, is hot.
But hate is the verb that to me is superb,
And Love but a drug on the mart.
Any kiddie in school can love like a fool,
But Hating, my boy, is an Art.
— Ogden Nash