Enfin, je suppose :

J’ai reçu mon MacBook !

En l’utilisant, je me suis rendu compte que je ne connais vraiment rien au monde Apple. Je me retrouve très vite perdu quand j’essaye des raccourcis clavier auxquels je suis habitué depuis des années. Les touches du clavier ne correspondent pas toujours à celles d’un clavier pc sur les ordinateurs Apple, et c’est encore pire quand on utilise un ordinateur portable.

Je ne sais pas si c’est de passer au portable, à Apple, ou aux deux, mais je me damnerais pour une touche « del ».

J’ai très vite installé un système windows dessus. Cependant, c’est temporaire : pour être sûr de pouvoir m’en servir dans les cas d’urgence (présentation powerpoint pour une soutenance, par exemple).

Bon; je retourne concevoir ma base de données…

L’ordinateur portable Apple que j’ai commandé la semaine dernière est « perdu » par le livreur, UPS. Parce que j’ai oublié de leur donner le code de ma porte. 🙁

A ma décharge, le matériel a été commandé par téléphone et la personne qui a pris la commande m’a fait oblitérer le besoin d’un code pour entrer chez moi. Elle avait une voix si charmante…

Comme il leur manquait ce fameux code la première fois qu’ils sont passés, j’ai reçu un mail d’Apple m’enjoignant à leur téléphoner pour les renseigner. Je l’ai fait, puis j’ai retéléphoné aujourd’hui après leur absence (!) pour découvrir que le colis est peut-être renvoyé chez Apple (en Irlande ?), ou peut-être qu’il est destiné à me revenir grâce au code porte, on ne sait pas. Différents ordres ont été donnés dans tous les sens pour le colis quand je les appelé la veille. Bizarre. Aujourd’hui, « la logistique » était en panne chez UPS dans mon coin, ce qui fait qu’ils ne savaient pas du tout où pouvait se trouver le paquet. Génial. Je dois les rappeler demain pour prendre des nouvelles.

gngngn, en somme.

Suite de l’histoire :

Après un nouvel appel à UPS, j’ai eu la chance d’apprendre que « non, il n’a jamais été perdu, ce colis », mais qu’il est bloqué pour cause de « mouvements sociaux ». Et comme ces mouvements sociaux ne doivent pas se limiter à une distribution de sucettes aux employés (ce qui serait, à défaut d’un grand mouvement, un bon geste), je n’ai plus qu’à attendre la fin de la grève. 🙁

édité le 23/03/2007 à 22h04 par angETF

Je viens de l’apprendre (merci Clint), le maître est de passage à Paris demain à l’occasion du vernissage de l’expo sur l’univers de la science des rêves à la Galerie Colette (de 16h à 18h).
Forcement j’y serai, niark ! 😛

Aussi, sortie du DVD oblige, Gondry fait sa promo en « de-blendexant » le DVD : encore un court’ trippant pour nos mirettes.

A suivre…

« Most Java applications require a persistent class representing felines. » (Hibernate.org, reference doc)

Pour les francisants en mal de compréhension :
« La plupart des applications Java nécessitent une classe persistante représentant des félins. »

Lu directement dans la documentation de référence d’Hibernate pour justifier une classe exemple Cat (fr : Chat).

Hibernate kezako ?

[geeks-mx mode : engaged]

C’est un logiciel qui permet d’attaquer* une base de données compatible SQL de manière très pratique.
Il crée en quelque sorte une implémentation objet pure-Java de votre base. Il offre son propre langage de requêtes, HQL, en plus de supporter l’utilisation du très connu SQL.

Pour créer un nouveau chat dans une table, au lieu du :

Statement stmt = con.createStatement();
stmt.executeQuery(« insert into chat(id, name, birthdate, color) values (null, ‘nouveau chat de dan’, ’26 FEV 2007′, ‘noir tacheté de blanc’); ») ;

Il permet de faire :

Session ma_session = FournisseurDeSession.NewSession();
Chat nouveau_chat = new Chat();
Chat.SetName(« nouveau chat de Dan »);
Chat.SetBirthdate(« 26 FEV 2007 »);
Chat.SetColor(« noir tacheté de blanc »);
ma_session.save(Chat);

J’avoue que ça fait plus de lignes, mais c’est plus Java, et je trouve ça bien plus pratique. 🙂

* oui, attaquer une base de données est bien un terme utilisé par les informaticiens, alors n’allez pas croire que je leur veux particulièrement du mal.

édité le 11/03/2007 à 19h57 par angETF

Samedi dernier, trois (3) geeks-mx débarquent chez moi pour visiter la capitale, et accessoirement, pour passer voir Mickey à Disneyland.
Après les sushi de rigueur, nous sommes partis dans le métro prendre quelques photos.

Ensuite, on est allé poser près de la tour Eiffel avant que le vent ne nous emporte.

Dans le désordre, nous sommes passées devant quelques ministères, d’autre école militaire, les invalides, le Louvre, Va-à-Rennes, ainsi que… Pigalle.

On se demande encore pourquoi.

Enfin, on est allé profiter d’un peu de musique de rue à Montmartre comme le soleil se couchait. La vue sur la ville y est très sympathique, mais pas photographiable avec nos moyens mobiles. Cependant, nous avons réussi à obtenir, avant le coucher total du soleil, une vue de l’église, basilique ou que sais-je encore.

La soirée improvisée s’est très bien passée chez Etienne, même si j’avoue être rentré très tôt parce que j’avais du sommeil en retard. Les geeks-mx sont rentrés, déchirés, à deux heures, leur odeur les précédant comme ils forçaient la porte de mon appartement.

Le lendemain, donc réveil difficile pour certains.
Je vous épargnerai les photos.
Nous avons fait les sandwiches (merci Dan, merci Zigva). On prend la route pour Disneyland Resort Paris.

Pour résumer : on a aimé Disney.
C’était beau.

Il y avait des pirates et même leur bateau.

Et on a pu faire un tour de carrousel !

Egalement, on s’est bien amusés dans la maison hantée, le Space Mountain, le Star Tour, le train de la mine, le wagon du temple du péril d’Indiana Jones, le labyrinthe d’arbres, tiré d’Alice au pays des merveilles, le manège de tasses tournantes, le canot des Pirates des Caraïbes, la maison des Robinsons, le camion qui brûle et explose, le Aerosmith-t’en-met-plein-la-tronche et surtout : le pont suspendu.

Sur le pont suspendu, quand on saute, ça fait remuer tout le pont, au point qu’on ne sache plus ensuite si on est toujours dessus, où non, quand bien même on l’a quitté depuis deux minutes. C’est l’effet « jambes qui flageolent » qui veut ça.

La plupart des attractions étaient des grands-huit (8) et autres roller coaster, ce qui nous a procuré beaucoup de sensations fortes pendant toute la journée. On a poussé le vice jusqu’à en refaire certaines plusieurs fois. 🙂

Las, il a bien fallu repartir le soir, quand à 21h le parc a fermé ses portes. Je ne marchais plus droit, d’ailleurs je marchais à peine tant j’étais fatigué, je crois bien que je flottais plutôt* dans l’éther.

Faits divers :

– On commence la journée, presque frais et dispos, par le Space Mountain : bof, pas beaucoup de peps, selon Zigva. On finit la journée, fourbus, éreintés, par le Space Mountain : « Oulah, je me souvenais pas que ça remuait autant ce matin » dixit la même.
– deux employés de Disneyland nous font la scène « On peut tromper mille personnes mille fois… non… », sérieusement et mot pour mot.
– J’ai les pieds tellement douloureux à la fin de la journée, que je suis sûr d’avoir des ampoules grosses comme ma main. Seulement, quand je regarde mes pieds en rentrant, je vois bien que je n’ai rien… Ah… L’imagination, la magie, Disney !
– à l’attraction Star Tour, sans doute née d’un appétit vorace pour la manne Star Wars, on a droit à un R2D2 plus vrai que nature, mais également un C3PO aussi grandeur réelle, animé et qui parle, mais avec un accent outrageusement british. On avait remarqué qu’il n’y avait aucune mention visible « Star Wars », rien que du « Star Tour ». On a compris pourquoi avec le C3PO qui tourne au thé : les mecs qui ont monté l’attraction devaient être bourrés, ou ne pas avoir tous les droits d’exploitation. Les deux, peut-être ?

Des fois qu’on doute que j’ai été là, puisque je n’apparais pas sur mes photos (ainsi que pour entretenir mon narcissisme), j’emprunte une photo que C@D a faite non loin de la tour Eiffel :

Je sais bien, ce n’est pas probant. 🙂

* pas l’ami de Mickey, ça c’est Dingo ! Le chien de Mickey !

édité le 07/03/2007 à 22h59 par angETF