Les nerfs qui lachent

On reconnait qu’on a les nerfs qui lachent quand on approche de trois heures du matin, qu’on est très fatigué, mais que l’on a envie de courir un marathon.

On reconnait qu’on a les nerfs qui lache quand on frétille comme une vierge qui va se faire sacrifier à un quelconque dieu païen, juste avant de passer une soutenance dans une matière difficile mais que l’on a pourtant bien travaillée et même potassée.

Dimanche après midi, j’ai découvert que mon binome, Madmath, était aux urgences pour un problème au coeur et ce, depuis plusieurs heures, et j’ai dû attendre lundi soir pour savoir enfin que son mal n’était pas grave ou dangereux, au sens où sa vie n’est PAS en danger.

Bien qu’inquiet, je ne pensais pas être en train de me faire un mouron monstrueux pour lui…

Que nenni, c’est un tourbillon de joie, et un soulagement immense qui m’ont pris lundi soir en apprenant la non gravité de son mal !

Comme quoi… On tient parfois à certains geeks plus qu’on n’y croirait. 🙂

Bon retablissement, madmath, on tient le fort en ton absence de nos projets. 😉