Les affiches sont sorties dans le métro, alors voici mon synopsis perso de Terminator : Genital System. Attention, spoiler.
Un méchant Terminator est envoyé dans le passé pour monter un empire commercial basé sur la vente d’une drogue douce, le mabac, vendue en paquets de 20 ligarettes, qui est sensée foutre en l’air les spermatozoïdes de Kyle, le papa de John Connor. Un gentil Terminator (Arnold) est envoyé dans le passé pour déjouer ce plan en inscrivant des messages d’avertissement sur ces paquets, et porter à 6 le nombre officiel de couleurs primaires.
Nous sommes en 2978. Pour empêcher un conflit interplanétaire, un gentil Terminator est envoyé dans le passé, pour s’installer comme voisin des Potes-MX. Après 483 tentatives de suicide et le sombre souvenir d’un déguisement en clown lors d’un carnaval malencontreux dans la seconde moitié des années 80, il finit par trébucher dans un chromatographe humain lors de la visite d’une usine Pantone. La suite, on la connaît. TerminaSCOTUS.
FIN