Bobital, ne pas se rejeter dedans …enfin si !

Nous voilà dé rétour du formidabeul festival qui, je dois l’avouer, manquait de pontons ou de trottoir, mais le bon son était bien présent !

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Entrée en matière avec Ziggy Marley, le fils de… il a d’ailleurs les yeux de son père (Zigva) / la bouche de son père (moi), bref un air 😉
Enchaînement avec Sniper, rap fr qui bougeait bien mine de rien et ce ne sont pas Anlor et Zigva qui vont me contredire :

Puis Da Silva et son invité surprise qui n’était d’autre que …Yann Tiersen : sortez les violons ! 😉
Changement de registre avec un Julien Clerc fâché avec son piano mais tellement culte, la preuve : ^^

Histoire se dérider après les slows langoureux, sortez les vieux ! Status Quo qui en a envoyé : encore la patate, impressionnants !!

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Restons dans le mouv’ avec Pleymo à 19h30 en attendant Briaaaan !
21h30 Placebo entre en scène en remuant tout ce joyeux barda, bien qu’à mon goût ils auraient pu bourriner d’avantage.

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Mais le super rappel avec la reprise de Kate Bush, Running Up That Hill ne m’a pas laissé sur ma fin.

Ensuite Dj Zebra et Merzhin en attendant le 7-7-7, (pardon ça c’était la date), le 6-6-6 !!
Briaaaaan, l’autre (Warner), alias Marilyn Manson entre en scène tout de cuir vêtu et fait guincher Bobital avec Rock is Dead, Sweet Dreams, mObscene ou Tainted Love, bref un best of du Clown gothique.

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Rappel avec une autre mise en scene théâtrale sur sa chaise :

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Admirer la saturation du son au refrain de Sweet Dreams mon pauvre téléphone n’arrivait pas à suivre 😛

Enfin, histoire de ne pas laisser nos rotules s’en tirer vivantes, les unstoppables argentins Che Sudaka qui nous ont tenus jusque 3h du mat’…

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…bon, on y retourne quand ? 😉