Where the Wild Things Are

ou Max et les Maximonstres (sic!) en français dans le titre, Spike Jonze nous retourne une fois de plus la tête à travers son personnage principal sur fond de mise en abyme (rappel pour les deux du fond : ces précédents films Being John Malkovich ou Adaptation utilisent ce même procédé).

Highslide JS

Pour le coup c’est bien réussi, ou plutôt, bien réalisé, je me suis littéralement identifié à ce sale gosse au même age… Le hic c’est que c’est un long métrage, et qu’un moyen métrage aurait largement suffi. Au moins on a le temps d’apprécier le délire artistico-onirique adapté de Maurice Sendak, d’une réalisation parfaite mais un peu trop contemplative à mon gout.
Attendez plutôt le Blue-ray pour le savourer un soir d’hiver au coin du feu.

édité le 17/12/2009 à 13h00 par JF/CAD